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Statue Tara Verte Protection

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Description

Ces statues du Bouddha féminin Tara Verte de 14cm - gold ou bronze - sont finement travaillées et décorées. Tara verte est particulièrement connue pour sa puissance à surmonter les situations les plus difficiles, donnant protection et réconfort contre les dangers. Il s'agit d'une déité qui intervient toujours pacifiquement. 

Tara Verte est l'une des 21 formes de Tara, bodhisattva féminin de la compassion et divinité protectrice du Tibet. Elle est représentée assise, deux bras, une tête, un cristal entre les deux yeux, la jambe déployée, et ses deux mains tenant deux fleurs de lotus. Elle est prête à se lever pour aider autrui. Son emblème est la couleur vertesymbole d'espoir, et le lotus bleu à demi-ouvert.

 

C’est, avec Chènrézi, le bodhisattva féminin le plus vénéré du monde tibétain. Même si des représentations de Tara, et vraisemblablement des textes, ont existé au Tibet dès le 8ième siècle, ce n’est qu’avec la venue d’Atisha en 1042 que sa pratique se diffusa. Son rôle fut prépondérant et sa biographie rappelle d’ailleurs les visions qu’il eut d’elle et la responsabilité qu’elle eut dans sa décision de se rendre au Tibet. Toutefois, Atisha ne transmit pas les tantras de Tara. Il faut attendre le 12ième siècle pour voir la première traduction de son plus important tantra. Il existe plusieurs traditions relatant l’apparition de Tara. Selon l’une d’elles, il y a des millions d’années, une jeune princesse appelée «Lune de la Connaissance », fut tant émue par les souffrances du monde qu’elle prit les engagements de bodhisattva en présence du Bouddha Amoghasiddhi. Bravant toutes les épreuves qu’elle eut à subir pour parfaire son serment altruiste, elle parvint à sauver plusieurs millions d’êtres nuit et jour.

Elle fit ensuite le souhait que toutes les femmes puissent, à son image, réaliser l’éveil spirituel. Depuis lors, la princesse, devenue Tara la « Libératrice », ne cesse de protéger les êtres et de les assister sur le chemin de la réalisation intérieure. Selon une autre tradition, et sans que cela soit incompatible, elle est née des larmes que Chènrézi laissa couler de son visage en contemplant les souffrances du cycle des existences. Une larme forma la Tara verte, active et énergique, une autre la Tara blanche, calme et apaisante.

Au Tibet, le corps d’émanation de Tara fut reconnu, à posteriori, dans deux des épouses de l’empereur Songtsèn Gampo, lui-même reconnu comme manifestant l’activité de Chènrézi : Brikhoutî, la Népalaise, était l’émanation de la Tara verte ; Wengchèn, la Chinoise, était l’émanation de la Tara blanche. Toutes deux eurent un rôle important dans l’installation du bouddhisme au Tibet ; elles apportèrent avec elles des statues, vénérées depuis lors, et incitèrent leur époux à bâtir des temples. C’est ainsi que furent construits le temple de Ramotché, et celui du Djokhang, le plus vénéré du pays.

Tara est une protectrice qui incarne la compassion active de Chènrézi, comparable « à l’amour qu’une mère porte à son enfant ». De là, ses formes sont très nombreuses : le groupe des huit Tara et celui des vingt et une Tara sont les plus connus.

 

L'objectif d'une statue n'est pas la décoration ou l'aspect esthétique mais plutôt d'être un support de méditation. C’est l’image mentale qui doit être utilisée et non l’objet lui-même, car c’est la conscience mentale intérieure qui médite et qui pourra éventuellement atteindre le calme mental.

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